Quel est le dernier film que vous avez vu ?

completement naze !

Bad Boys avec la siiiiiiiiiiiiiii beeeeelle Tea Leoni !!! (Quel regaaaaard ! )

Je reviens d'un festival de courts métrages d'animation !
vraiment super
glauques, flippants, légers, sombres, tristes, gais, amusants, graves, envellopants...
Tout ces films m'ont vraiment laissé bonne impression !
Voila du cinéma technique, intelligent !
Pas abetissant !

Chapeau aux jeunes talents

Pouic Pouic .......... De Funès ! ---> J'adoooooooore !!!

Find_A_Cure a écrit:

Tears a écrit:

le cercle 2 version japonaise ......genial

On a voulu le louer l'autre soir, mais y'avait pas ! J'aurais aimé le voir ! Fait vraiment peur?

sachant que j'adore l'histoire ouais !!! si tu as aimé le 1 tu devrais aimé celui la

Curse a écrit:

Pouic Pouic .......... De Funès ! ---> J'adoooooooore !!!

Singbird ------> Pouic Pouic ! J'y avais jamais pensé !!!

Curse a écrit:

Singbird ------> Pouic Pouic ! J'y avais jamais pensé !!!

arrête de penser cursounet

Ah, tu m'y as forcé, là !
Fallait pas me citer !

"sous le silence" vraiment tres bien !

Je viens de voir La Dernière Tentation du Christ. Un film de M. Scorsese sorti en 1988 mais très vite censuré ! Mon Dieu (c'est le cas de le dire) qu'il y avait des scènes choquantes ! [/b]

moi le dernier de la guerre des étoiles !
super, chapeau ! javai été décue par les deux premiers, mais la, chapeau

Idem, Fistounette !!!
Pourtant, on s'accompagnait po !

GENIAAAAAAAAAAAALLLLL !!!! (C'est pour Koko ! )

Million Dollar Baby

Quelques commentaires supplémentaires, peut-être, Imagho ? Il est fort possible que je me laisse tenter aussi. Ca vaut le coup ?

Kotyk a écrit:

Quelques commentaires supplémentaires, peut-être, Imagho ? Il est fort possible que je me laisse tenter aussi. Ca vaut le coup ?

Moi, j'ai beaucoup aimé ce film touchant et beau. Il faut vraiment le voir au cinéma pour pouvoir apprécier au mieux la beauté des lumières, notamment. Ce n'est pas quelque chose à quoi je fais particulièrement attention d'habitude mais ici la qualité du travail sur les lumières et les contrastes est très grande. Clint Eastwood a dit vouloir se rapprocher du noir et blanc et c'est vraiment une réussite. Un film dont la mise en scène reste très sobre, très discrète, toute en retenue et c'est quelque chose qui caractérise bien ce film de manière générale tant au niveau de l'approche des personnages que de la mise en forme des émotions. Beaucoup de scènes très touchantes, tournées vers l'intérieur.
Et puis plusieurs thèmes traités, là encore, avec justesse et précision. Notamment, le joli thème de la protection.

Et puis bien d'autres choses encore. Je te le conseille et je suis presque sûr qu'il te plaira
J'ai lu un bon article dans les Cahiers du Cinéma, j'en posterai des extraits.

ah Clint Eastwood, quel grand bonhomme.
j'adore aussi bien l'acteur que le réalisateur

Star wars III.

Pour le compte rendu : cliquer ici

C'était pas un film, mais un spectacle en DVD : celui de mr .....

DOUBOUC !!!



Une franche partie de rigolade !!!

Même si le dernier sketch, Lettre à Véro, m'a particulièrement touché !
A la fois drôle et triste !!! Quelques phrases très très belles !

A part ça, le sketch du camping, avec certaines personnes du public qui montent sur scène ... Génial !!! J'adhère tjrs autant !!!
Spectacle très très bon si on veut passer un bon moment !

moi je me suis refais "THE CROW" pour la .... fois, c vraiment bon...

Comme promis, je reviens un petit peu sur Million Dollar Baby avec non pas des extraits d'un article mais des extraits d'une interview de Clint Eastwood publiée dans les Cahiers.

Avez-vous formulé des demandes particulières à Tom Stern, votre chef opérateur ?
Oui, j'avais une idée précise de l'aspect visuel du film, qui recoupe d'ailleurs ce que nous avions cherché pour Mystic River. Ce sont des films qui évitent les couleurs vives, je souhaitais qu'ils ressemblent à du noir et blanc. J'ai voulu qu'ils soient éclairés comme on éclairait à l'époque du noir et blanc, que les couleurs des costumes soient celles qu'on utilisait alors. J'avais déjà exploré cette manière de faire il y a plusieurs années, pour Bird. Mon idée, dans Million Dollar Baby, était qu'à l'exception de certains détails comme l'apparence des voitures sur le parking, on ne puisse pas dire à quelle époque se passe l'histoire : elle se passe aujourd'hui, mais pour l'essentiel, ce pourrait être les années 1950 ou 1960, elle n'appartient pas à une époque particulière.

Vous pourriez tourner un film en noir et blanc ?
Je pourrais, mais je n'en ai pas envie. Je préfère m'en approcher. Mais si j'avais dû choisir entre noir et blanc et couleurs vives, j'aurais choisi le noir et blanc. D'ailleurs, plus le film avance, plus je m'en approche, quand on arrive au troisième acte, à l'hôpital, j'ai presque entièrement supprimé les couleurs.

Le film, comme souvent avec vous, est aussi très sombre, l'ombre y occupe une grande place.
Oui, c'est comme ça que je le vois. J'aime travailler sur l'utilisation des lumières et des ombres, sur les contrastes, et aussi sur les cadres, pour rendre ce qu'on voit plus intéressant. Ce n'est pas que je voie la vie en noir et blanc, mais avec de l'ombre, tout semble bien plus intéressant que dans la pleine lumière.

Y a-t-il quelque chose que vous aimez particulièrement filmer ?
Je n'ai pas de sujet de prédilection, mais il est sûr que j'aime beaucoup filmer les visages. Les visages, tout est là. Aujourd'hui, beaucoup de films sont tournés comme ça (il indique avec ses bras un cadrage moyen, un "plan américain"), sans doute parce que la plupart des réalisateurs ont appris leur métier en regardant la télévision. Mais je crois vraiment en l'importance des mises en relation, j'aime que les choses soient situées dans l'espace. Il faut que l'endroit où on se trouve soit intéressant, et montré d'une manière intéressante. Ma mémoire visuelle a été formée par John Ford, Howard Hawks et Raoul Walsh, des gens qui savaient inscrire l'humain dans un environnement plus vaste. Ils représentent une école visuelle du temps où la télévision n'existait pas.

Vous êtes parvenu à retrouver cela dans ce film qui ne comporte pourtant pratiquement aucune scène d'extérieur.
Oui, il faut faire encore plus attention à la manière d'articuler deux échelles de plan. Il est facile de tourner un plan de paysage immense, et il est facile de faire des gros plans, c'est ce qui relie les deux qui est difficile. Le problème est la manière de construire le cadre d'ensemble, qui fait tout tenir ensemble, avec cette "sensation géographique" que le film est situé, qu'il est en rapport avec un certain lieu.

Il est amusant de voir que quelqu'un qui a débuté sa carrière aux côtés d'un cinéaste du désiquilibre, de l'excès, de la stylisation revendiquée et ironique comme Sergio Leone, est devenu le cinéaste de l'équilibre et de la mesure par excellence.
Oui. On s'est bien amusés avec Sergio, et j'aime toujours le style qu'il donnait aux films, mais j'ai évolué dans une tout autre direction.


J'aime bien ce qu'il dit sur les lumières et les ombres. En relisant cette interview je me disais que certaines des choses qu'il dit à ce sujet pourraient presque convenir pour parler de certains morceaux de Cure.

Merchi, Imagho ! Ben voilà, ça va te donner quelques idées pour tes prochaines reviews...

Kotyk a écrit:

Merchi, Imagho ! Ben voilà, ça va te donner quelques idées pour tes prochaines reviews...

Last Days de Gus Van Sant


J'ai bien aimé même si j'ai préféré les deux films précédents de Gus Van Sant. Il y a, à mon sens, au moins deux moments de grâce dans ce film : ceux où Blake (Kurt Cobain) joue de la musique.

Sur le site du film, on peut entendre le morceau très "Nirvana unplugged" composé par l'acteur Michael Pitt : http://www.mk2.com/last_days/

Attention, ceux qui ne sont pas coutumiers du style de Gus Van Sant, et qui penseraient aller voir un récit un peu "classique" des derniers jours de Kurt Cobain, seront déroutés.

A noter le petit rôle de Kim Gordon et la collaboration musicale de Thurston Moore, de Sonic Youth.

Je suis allée voir Kingdom of heaven hier. Mouif. Ridley Scott est bien fatigué.